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Qu'avez vous maté comme film dernièrement ?
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Gran Torino
Vétéran de la Guerre de Corée quelque peu raciste, Walt Kowalski reprend les armes pour ramener l'ordre dans son quartier, tandis qu'un gang menace la famille Hmong qui habite à côté de chez lui...
C'est un film qui doit sortir fin Février en France et franchement c'est un très bon film.Il y a énormément d'humour, c'est vraiment un bon Clint Eastwood.
Y'a des répliques monstrueuses et des scènes vraiment cocasses.
A voir absolument rien que pour la scène ou il va chez le coiffeur et où il fait des concours d'insulte avec LOL
Eastwood en raciste, fallait oser.
15/20
Rock n' Rolla
Caïd londonien, Lenny travaille à l'ancienne. Ce qui ne l'empêche pas de savoir à qui graisser la patte et de pouvoir faire pression sur n'importe quel ministre, promoteur immobilier ou malfrat en vue. D'un simple coup de fil, Lenny est capable de soulever des montagnes. Mais comme le lui dit Archy, son fidèle lieutenant, Londres est en train de changer : les mafieux des pays de l'Est, comme les petits voyous, cherchent tous à bouleverser les règles du milieu. Désormais, c'est toute la pègre londonienne, des gros bonnets aux petits poissons, qui tente de se remplir les poches en se disputant le coup du siècle. Mais c'est Johnny Quid, rock star toxico qu'on croyait mort, qui a les cartes bien en main...
Dans la ligné de Snatch, j'ai passé un très bon moment.L'histoire est vu et revu mais ce sont les personnages et la réa' qui font tout le film.
Encore un bon Ritchie
17/20
Babylone Ad
Toorop a mené bien des combats et survécu aux guerres qui ont ravagé le monde depuis le début du XXIème siècle. La mafia qui règne sur l'Europe de l'Est confie une mission délicate à ce mercenaire : convoyer de Russie jusqu'à New York une mystérieuse jeune fille prénommée Aurora pour la remettre aux mains d'un ordre religieux tout puissant...
Farce
0/20
La loi et l'ordre
Après avoir passé trente ans ensemble dans la police de New York, les détectives Turk et Rooster sont prêts à tout, sauf à prendre leur retraite. Peu avant leur départ, plusieurs criminels ayant échappé à la justice sont assassinés selon un mode opératoire qui rappelle celui d'un serial-killer que les deux enquêteurs ont mis sous les verrous plusieurs années auparavant. Une insupportable question se pose alors : Turk et Rooster se seraient-ils trompés ?
L'officier Karen Corelli s'interroge, et les détectives Perez et Riley espèrent résoudre l'affaire avant Turk et Rooster. Très vite, le lieutenant Hingis, leur chef, commence à craindre qu'un policier ne soit impliqué. C'est le début d'une enquête à hauts risques...
Sympathique mais ils ont pris un coup de vieux De Niro et Pacino.Horrible les voix qu'on leur a donné en VF, ça gache un peu le film, autrement ça se regarde.
14/20
Twilight:
Isabella Swan, 17 ans, déménage à Forks, petite ville pluvieuse dans l'Etat de Washington, pour vivre avec son père. Elle s'attend à ce que sa nouvelle vie soit aussi ennuyeuse que la ville elle-même. Or, au lycée, elle est terriblement intriguée par le comportement d'une étrange fratrie, deux filles et trois garçons. Bella tombe follement amoureuse de l'un d'eux, Edward Cullen. Une relation sensuelle et dangereuse commence alors entre les deux jeunes gens : lorsque Isabella comprend que Edward est un vampire, il est déjà trop tard.
Ahahahaha la daube, remarquez, c'était la salle entière qui se tappait des barres de rire tellement c'était naze donc on a pas passé un si mauvais moment que ça, le gros point négatif, c'est qu'on a vraiment foutu du fric en l'air pour le plus beau navet que j'ai jamais été voir au ciné.
Le coup des vampires qui brillent, c'est vraiment la goutte d'eau, c'est la scène la plus poilante du film, c'est à se pisser dessus.
Le héros est tellement éféminé, c'est juste ridicule.
Gaylight, chapitre 1, sodomisation.
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- dajhne
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Pas bon! Will Smith en super-savant..... et pourquoi pas Steven Seagal pendant qu'on y est ?
Le savant qui écoute du Bob Marley (parce que Will Smith, il est trop cool!), et qui sort à une nana de l'histoire:
- "noooooon!!! tu connais pas BOB MARLEY!!!!!!!!!???????"
et qui lui chante trop mal 1 ou 2 titres derrière pour voir si ça lui rappelle quelque chose!!!!! TROP NASE!!!!!!
De +, j'ai rarement vu des effets spéciaux aussi moches (sauf dans Xena La Guerrière!), et les rebondissements sont tous pourris!
Avec des pauvres courses poursuites en bagnole (notez le singulier!) à 2 balles qui ne servent à rien, sauf à maintenir l'attention du spectateur en éveil, faute de mieux (et je ne parle même pas de la fin, rythmée au son du clocher de l'église salvatrice!)!
note: 2/6 (il y a 1 point qui revient au chien!!! Parce qu'il est trop sympa! )
"DJANGO" avec Franco Nero
Sorti des Leone, pas grand monde peut parler des autres western italiens! La série des Django est à ce titre exemplaire, tant elle représente une belle part du cinéma "bis"; copie sans vergogne de grands classiques; de la violence, un peu de sexe, et peu de thunes!
Franchement très bon (avec la bonne musique de Luis Bacalov), mais on reste loin du talent du grand Sergio (aucun cadrage un tant soit peu osé!)....
note: 4/6
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- CoreBack
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Si le vent souleve les sables:
Un film sur un père de famille qui décide d'aller chercher de l'eau pour lui et sa famille, une quête impossible au coeur du désert et de l'immensité africaine.
A ne pas mater si vous n'avez pas le moral LOL
15/20
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- ChaosmoZ
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de Pier Paolo Pasolini - 1975
Vestibule de l'enfer. A Salo, en 1944-45, durant l'occupation nazie-fasciste du nord de l'Italie, les quatre scélérats issus des 120 journées de Sodome du marquis de Sade signent le livre des Châtiments. Ils sont en costumes civils, aidés de soldats allemands et de miliciens italiens en civile et en uniformes. Ils épousent mutuellement leurs filles, choisissent des garçons et des filles. On se rend aux environs de Marzabotto, en Emilie-Romagne. Un subversif est tué en s'évadant d'un camion au passage d'un pont. On s'installe dans une grande maison.
Cercle des manies : la Vaccari dans sa loge ; elle dit deux récits, un repas collectif avec violence et chant fasciste, une séance de masturbation avec un mannequin, on montre le cadavre mutilé d'une victime dans la chapelle, on dit un récit. Sergio et Renata sont branlés avant d'être mariés et forcés à une nuit de noce publique, méditations d'alcooliques au salon de thé, un récit, on fabrique une meute humaine, un récit (l'amour avec les condamnées à mort).
Cercle de la Merde. La Maggi dans sa loge ; elle dit deux récits, le Duc force Renata à manger sa merde, le Président va le branler, on surveille les vases de nuit, un repas de merde, un récit, le Duc se fait uriner sur le visage, un récit
Cercle du sang. Trois des quatre scélérats se préparent dans le salon ; on marie en grande pompe les trois scélérats avec trois soldats en civil, récitation de deux extraits enchaînes de Femmes-Femmes, film de Paul Vecchiali, par la pianiste et la Vaccari, le quatrième scélérat qui faisait le prêtre se fait sodomiser en chambre par son officiant, délations en chaîne chez les victimes, on supprime le milicien subversif qui lève le poing, on tue la servante noire, une sentence de mort générale est prononcée, un récit, des victimes attachés attendent leur sort dans les toilettes, une déclamation en allemand.
Quatrième cercle (non indiqué). Le Duc avance d'un air martial, il s'installe sur une chaise surélevée devant la fenêtre, la pianiste se suicide en se jetant par la fenêtre, Le Duc regarde à la jumelle les autres torturer des victimes dans la cour en contrebas. Il rejoint les bourreaux, l'Evêque le remplace aux jumelles, dans la même pièce, deux jeunes miliciens posent leurs mitraillettes, font taire Ezra Pound à la radio, mettent une valse et esquissent quelques pas de danse innocemment enlacés.
Salo est le versant noir de la trilogie de la vie qui le précède. Il pourrait être comme les supplices de l'enfer, le panneau de droite du Jardin des délices de Jérôme Bosch. On y note le même pessimisme foncier après l'espoir d'une création harmonieuse et la fascination pour les plaisirs abondants et sensuels de la terre.
Pour Hervé Joubert-Laurencin, le premier indice d'une dimension politique du film tient au déplaçant du lieu de l'histoire. Comme deux panneaux routiers très discrets l'indiquent au début du film la fiction se déplace de Salo, petite ville de Lombardie au bord du lac de Garde, vers un lieu indéterminé aux environs de Marzabotto un peu plus au sud, en Emilie-Romagne. Pasolini passe de la ville symbole, capitale provisoire de "La République Sociale Italienne", Salo, au lieu historique d'un des massacres de masse perpétrés à cette période : Marzabotto. Si l'on voulait transposer, Salo serait une fiction sur Vichy se déroulant dans la région d'Oradour sur Glane. Entre septembre 1943 et août 1945, 72 000 personnes sont exécutées et 40 000 mutilés lors de la répression sauvage menée conjointement par les troupes d'occupation nazies qui pillent l'Italie du Nord sans ménagement pour leurs anciens alliés méprisés et par des "reppublichini" ou "nazi-fascisti" fournissant, dans la fiction, les soldats miliciens qui assurent l'ordre à l'intérieur et, à l'occasion, le service des fouteurs sadiens. Enfin "l'italia settentrionale" est aussi le lieu biographique réel où se trouvait Pasolini à la même époque, le Frioul-Vénitie Julienne. Pasolini est considéré, après septembre 1943, comme déserteur ou prisonnier de guerre évadé, en tous cas insoumis et évite donc d'être raflé comme les garçons à bicyclette au début de Salo.
Ce déplacement rend directement lisible le lien entre les rêves de la superstructure politique et la réalité effroyable des massacres qui en découlent. Il implique aussi physiquement le corps et l'histoire de Pasolini dans cette réflexion sur la liaison entre plaisirs et pouvoir.
L'implication de Pasolini comme intellectuel est revendiquée par son inscription dans la continuité de la réflexion sur Sade tel que l'explicite le générique qui ouvre Salo et qui recense cinq ouvrages sur Sade d'intellectuels français très célèbres : Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Pierre Klossowski, Maurice Blanchot et Philippe Sollers. Les quatre scélérats citent eux aussi Klossowski, Barthes et Gottfried Benn dans le texte puis entendent en italien à la radio mussolinienne, juste après le Carmina Burana de Carl Orff, un des Cantos d'Ezra Pound qui a effecivement travaillé pour la radio fasciste et s'est effroyablement compromis avec ce régime.
La réflexion d'une corruption par la culture serait-elle alors le sujet central du film ? "Comment elle s'appelle ta petite amie ?-Margharita", on le sait, sont les derniers mots de Salo. On est souvent tenté, puisqu'ils concluent énigmatiquement le dernier film réalisé, d'en faire les mots ultimes du cinéma de Pasolini contenant, en condensé, son testament introuvable. Giovanni Buttafava (Bianco e nero n°23,1976) et beaucoup d'autre après lui ont interprété la réponse du second danseur au premier comme une allusion au rachat faustien.
Hervé Joubert-Laurencin ne suit pourtant pas cette interprétation qui croit voir dans le motif de Marguerite "une impitoyable radiographie de la corruption démoniaque de la culture et des artistes, ce nom est l'indice clair d'une foi ultime et désespérée dans la possibilité du salut de cette même culture et du monde."
Pour Hervé Joubert-Laurencin une telle interprétation (a fortiori si elle reste univoque) transforme involontairement ces derniers mots du film en une sorte de confession, quand ce ne serait pas une conversion au seuil de la mort. (L'épisode de Ciappeletto dans le Décaméron enseigne pourtant la méfiance quant à ce genre de retournement). Conversion catho mais aussi hétéro, puisque le dernier vers du second Faust de Goethe, repris du Paradis de Dante parle de "l'éternel féminin qui mène en haut".
Certes, le renvoi à Goethe, dont on peut difficilement douter qu'il ait échappé à Pasolini, est d'autant plus impressionnant que l'entrée du paradis se trouve citée à travers lui, et répond alors, dans une symétrie parfaite, au premier plan d'Accattone : une citation du purgatoire évoquant la possibilité du rachat à la dernière seconde. Malgré cela le doute persiste.
D'abord, tout simplement parce qu'il serait insupportable que des collaborateurs de supplices aussi ignobles puissent ainsi être excusés de tout par un petit pas de danse innocent. De plus les garçons représentent la "nouvelle jeunesse" que Pasolini agonit d'injures dans ses articles de 1974-75 : pourquoi voudrait-il les sauver ? D'autre part, si la corruption s'est installé dans Salo par l'excès de citation, pourquoi le film indiquerait sa rédemption par le péché lui-même, selon la voie indirecte d'une nouvelle référence culturelle ?
Si Hervé Joubert-Laurencin voit mal comment exclure la référence à la Marguerite gothéenne, il refuse de penser forcément à l'épisode du rachat par la Femme. Le motif de Marguerite, c'est aussi l'évocation d'un jeu cruel, "sadique" ; c'est la femme rendue folle, séduite et abandonnée, le motif du mal perpétré par les hommes. Car comme chez Bosch, la parabole morale n'écarte pas la description réaliste et jouissive des plaisirs décrit.
Le caractère maléfique des actions est évidemment incontestable mais les quatre scélérats, pas plus que les narratrices, ne sont ridiculisés. Les quatre scélérats ne font que pousser à ses extrémités l'acte sexuel dans une société libérale et en révèle la vérité profonde avec son cortège d'autorité et de répression.
Encore un peu plus loin et voilà ce que sera le système érotique libéral si on le laisse faire, tel pourrait être le message de ce film.
Le rituel, celui de Sade, de Bosch, des intellectuels cités par Pasolini qui constitue une lignée dans laquelle il s'inscrit, met à distance les plaisirs décrits mais ne les dénie pas. Et Giovanni Butatfava a sans doute bien raison d'y voir pour le spectateur une cérémonie d'exorcisme.
J.-L. L. (le 23/01/2006)
"Pétrole" est l'équivalent littéraire souvent exact de Salo. Sur le plan sexuel, la séance de fellation, incipit obligatoire du porno, est absente de Salo, tandis qu'elle prend une place volontairement démesurée dans Pétrole où l'appunto 55 détaille l'opération, répétée sur trente longues pages.
"Salo sera un film cruel, prévient Pasolini. Tellement cruel que je serai obligé (je suppose) de m'en distancier, de faire semblant de ne pas y croire et de plus ou moins rester de glace, par jeu."
Pasolini n'aime pas Sade. Il trouve son style épouvantable, mais il a l'illumination décisive quand il décide de transposer Les Cent Vingt Journées dans la république fasciste de Salo, où Mussolini s'est replié entre 1943 et 1945. Sur le plateau, Pasolini ne dévoile qu'au dernier instant les sévices que les jeunes acteurs doivent jouer. Hélène Surgère évoque un tournage plutôt joyeux, où le principal problème :
"était d'empêcher les très jeunes acteurs de rire, notamment lors du banquet de la merde".
Les menaces sont nombreuses pendant le tournage, qui se déroule sous protection policière.
"Il s'inquiétait beaucoup de la montée d'un nouveau fascisme, se souvient Hélène Surgère, une des actrices principales du film. Lors du tournage, nous avons assisté à d'inquiétantes manifestations. Pasolini était préoccupé par la violence qui est en chacun de nous, il pensait que ceux qui veulent l'utiliser trouvent toujours un terrain favorable..."
Pour le montage, Pasolini doit utiliser des chutes parce qu'une partie de la pellicule a été volée. Les premiers spectateurs accusent le coup:
"J'étais atterrée, se souvient Hélène Surgère. Comment avions-nous pu faire une chose aussi terrible sans nous en apercevoir. Je me suis demandé si nous n'avions pas été trop loin. Mais j'ai toujours été d'accord avec le projet. Pasolini me disait qu'il fallait se servir du cinéma comme d'une arme politique. J'ai revu Salo plusieurs fois et mon avis a changé selon les époques. Aujourd'hui, je pense qu'il est plus en phase avec notre temps. Les gens perçoivent mieux ce qu'il dit sur la société de consommation."
Source : Pasolini, portrait du poéte en cinéaste de Hervé Joubert-Laurencin, édition Cahiers du cinéma,1995
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- darkside
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PAS DE PLACE POUR LES FAIBLES !!!!!!
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Slumdog Millionaire:
Jamal Malik, 18 ans, orphelin vivant dans les taudis de Mumbai, est sur le point de remporter la somme colossale de 20 millions de roupies lors de la version indienne de l'émission Qui veut gagner des millions ? Il n'est plus qu'à une question de la victoire lorsque la police l'arrête sur un soupçon de tricherie.
Sommé de justifier ses bonnes réponses, Jamal explique d'où lui viennent ses connaissances et raconte sa vie dans la rue, ses histoires de famille et même celle de cette fille dont il est tombé amoureux et qu'il a perdue.
Mais comment ce jeune homme est-il parvenu en finale d'une émission de télévision ? La réponse ne fait pas partie du jeu, mais elle est passionnante.
Ce film est juste énorme, grosse claque de ce début d'année 2009 en ce qui me concerne.
19/20
PS: A matter en VOST obligatoirement, le hindy c'est de la balle LOL
La Cellule de Fermat
Quatre mathématiciens qui ne se connaissent pas entre eux, sont conviés, par un mystérieux hôte, à se rendre dans une maison isolée afin de résoudre une grande énigme. Ils se retrouvent soudain dans un salon qui rétrecit et qui risque de les écraser s'ils ne découvrent rapidement les liens qui les unissent ainsi que la raison pour laquelle on veut les assassiner.
Film sympathique, Dajhne, matte le, ça devrait te plaire je pense.
13/20
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- dajhne
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-"L'Orphelinat": vraiment très bon!!!
-"Dark City" idem!!!
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- lo_ol
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j'ai rarement vu des effets spéciaux aussi moches (sauf dans Xena La Guerrière!)
alors là, la limite des bornes indépassables à ne pas franchir est allègrement explosée: môôôssieur dajhne, comment peut-on critiquer aussi injustement la merveilleuse Xena , cette pure héroïne (sans jeu de mots et sans xanax!) ???
un minimum de respect quand même, meeeeerde!
dajhne écrit:
... le genre de film qui te marque à tout jamais!!!!
bon ça va, tu te rattrapes avec cet avis sur salo.
un film qui marque au fer rouge, assurément.
~~~~~ mAkE SoME fuCKiNg NoIsE ~~~~~
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- dajhne
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